dimanche 2 novembre 2008

Messages et réalités

Le fondateur de l’Aïkido disait : « il n’y a pas de combat, car il est terminé avant d’avoir commencé ».
C’est un très joli propos, sans doute authentique et vérifiable de son vivant, en tout état de cause une très belle démarche philosophique dans le cadre de notre étude de l’aïkido.
L’ennui c’est que dans notre quotidien il y aura toujours des cons* présomptueux qui seront tentés de mettre cette maxime à l’épreuve, même si au final ils se prennent un râteau.
Et comme personne n’a envie de tendre la 2e joue après avoir pris une baffe, les combats existent bien, même s’ils sont gérés au mieux et aboutissent à des contrôles des situations.
Pour que le combat n’existe pas, même en germe, cela suppose être en possession d’un minimum « d’armes relativement égales » et…d’une même conscience ; ça pourrait s’appeler la dissuasion.


*Le sale con, ça vous dit quelque chose ?
Mais oui bien sûr ! C'est votre collaborateur principal, votre collègue, votre directeur, vous peut-être. Le sale con, c'est cette personne odieuse, parfois brillante, mais toujours nuisible, dont la présence plombe la vie, l'atmosphère et, trop souvent, la performance d'une entreprise, d'une organisation, d’une association.
Parmi le déluge des environnements remplis de sales cons, un problème majeur, enfin identifié : celui de la présence et de l'effet des sales cons un peu partout.
Les sales cons ne sont pas une simple gêne au travail, mais un sérieux obstacle à la réussite. Déplorons aussi l'énormité du CTSC (Coût Total des Sales Cons) dans les organisations.
Mais on peut à coup sûr repérer les sales cons certifiés. On peut aussi déterminer si on en est un soi même. Il y a des trucs pour empêcher le sale con qui est en nous de sortir au grand jour. On peut et on doit faire place nette dans nos environnements pour ainsi créer un environnement civilisé, enfin garanti zéro-sale-con.
Tout le monde se doit de lutter contre toutes les formes de harcèlement.